Quelques histoires lesbiennes de professeures lesbiennes
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On estime qu’en France, 4% de la population féminine s’identifie comme lesbienne ou bisexuel. Il n’y a quelque relation entre l’orientation sexuelle et la position qu’une personne occupe, ça veut dire leurs travails. Ainsi, comme on trouve des dizaines de docteurs qui sont des hétéros, on trouve aussi des LGBTQ+ qui choisissent cette profession. Mais des études récentes montrent que la vie académique attire l’attention des gays et lesbiennes de nos jours.
L’analyse a permis de dresser des listes de professions ayant la plus forte proportion de gays et de lesbiennes. La plupart d’entre eux sont associés à une perception sociale supérieure à la moyenne et l’indépendance aussi au-dessus de la moyenne :
Alors, la carrière d’enseignant ou de professeur est la 9eme dans la liste de travails choisis par les LGBQ+. Les enseignants et professeurs, en général, sont embauchés pour se conformer aux valeurs établies de la communauté qui les embauche. Ils reflètent les conventions qui correspondent avec un modèle idéologique de comportement pour la communauté dans laquelle ils travaillent. En d’autres termes, les professeurs sont des modèles pour leur entourage. Ils sont généralement plus conscients de la société et de ses questions et minimalement politisés.
On peut dire que pour cette raison, parmi d’autres, les LGBTQ+ et surtout les lesbiennes choisissent leurs parcours vers l’éducation. Parce qu’ils peuvent faire la différence, puisqu’ils sont habitués à traiter avec des difficultés d’être homosexuel dans une société encore limité quand il s’agit de tolérance et de respect. En plus, ce travail offre la stabilité qui les lesbiennes (et tout le monde, évidemment) cherchent bien.
Les données indiquent que les personnes qui s’identifient comme lesbiennes, gays, bisexuelles et/ou transgenres sont particulièrement sensibles aux désavantages socioéconomiques. Le manque d’acceptation et la peur de la persécution peuvent amener de nombreux personnes LGBTQ+ à quitter leur maison, et même vivre dans les rues. Donc, quand ils parviennent à « survivre » toute cette tempête qui implique une vie queer, ils ne veulent plus réussir dans une vie instable.
Le choix d’une carrière d’enseignant, professeur de sport/gym ou de professeur universitaire a beaucoup d’avantages, du salaire aux vacances. Et plus encore, les gens auront toujours besoin de professeurs, c’est un « marché » qui ne s’éteindra jamais. Ce n’est pas une question de tendance, le monde va continuer à changer, mais les enseignants seront toujours nécessaires, ils auront toujours leur place parmi les professions les plus importantes, dans le monde entier.
Aller à une salle de gym peut être une expérience embarrassante pour beaucoup de gens, mais cette vulnérabilité est amplifiée lorsque votre corps ou vos manières ne pas se conforment à l’interprétation des gens sur la façon dont vous devriez être. Parfois, les salles de gymnastique sont hyper « masculines » (au mauvais sens), ils peuvent être toxiques, ils sont à propos d’une esthétique et les LGBTQ+ peuvent ne sentir pas bien. Ce n’est pas bon si les membres sont occupés à vous fixer au lieu de faire leurs propres choses.
Mais ce publique peut compter sur les « Queer Gyms » où la visibilité est seulement positive. En ligne, il y a des listes diverses avec les salles de sport dans les principales villes du pays, comme par exemple « Le Klay », situé au Marais, à Paris. Il ressemble plus à un musée qu’à un gymnase ultramoderne – l’esthétique est toujours importante pour les LBGTQ+. Cette installation, axée sur le sport, se trouve dans un entrepôt du XIXe siècle avec d’énormes puits de lumière, et ils ont des politiques très stricts, vous ne pouvez pas passer beaucoup de temps dans les vestiaires par exemple, dans un souci de respect. Au même temps, rien ne vous empêchera de vous connecter avec d’autres personnes, si vous le gardez respectueux. En plus d’accueillir seulement les LGBTQ+, les employés des salles de sport queer sont aussi des gays, lesbiennes, transgenres et bisexuels.
Le fantasme des professeures lesbiennes habite la tête de beaucoup de femmes. Trouvez ici trois films qui présentent des relations entre les professeures lesbiennes et les élèves :
À l’intérieur de l’académie : des études Queer depuis 1990
Les lesbiennes ne sont pas seulement celles qui transmettent des messages ou qui aident les élèves dans les écoles et les universités. Elles sont également responsables de la conduite des études et aussi leurs objets. La « Théorie Queer » est un ensemble d’idées sur le genre et la sexualité humaine qui affirme que les sexes, les identités sexuelles et les orientations sexuelles ne sont pas lieu à la biologie, mais à la construction sociale qui est variante selon les différents groupes. Cette théorie a ouvert la porte pour beaucoup d’études sur les LGBTQ+ depuis 1990. Aujourd’hui, l’un des noms les plus importants dans ce domaine est Judith Butler, américaine, professeure et philosophe lesbienne.
Une des professions les plus antiques du monde attire l’attention de la communauté LGBTQ+ dans le monde. Les professeures lesbiennes gagnent leur espace et se tournent importantes dans les études queer, des inspirations pour les élèves qui sont insécures et ont des rôles importants, pas stéréotypés.
Aujourd’hui, le pays compte avec les lois de protection, en plus des activités sécurisées pour les gays, les lesbiennes, les bis et les transgenres. Il n’y a pas d’évidence concrète que rapporte les lesbiennes et la carrière de professeure, mais on sait qu’elles peuvent faire tout ce qu’elles veulent, et personne ne peut les arrêter.